Les battements binauraux ou son binaural :
Le son binaural est une fréquence subjective sonore perçue par le cerveau. Les fréquences envoyées dans les deux oreilles diffèrent légèrement. Le cerveau va automatiquement vibrer à une fréquence équivalente à la différence des 2 fréquences.
Ces sons permettent ainsi de synchroniser les deux hémisphères cérébraux (Foster, 1990), à une fréquence qui est celle du son subjectif perçu (Dr Gérald Oster (1973); Atwater (1975)).
Pour ressentir les effets des rythmes binauraux, il est obligatoire d’utiliser un casque audio stéréo.

Les sons (ou battements) isochrones :
Ce sont des impulsions sonores régulières créées par l’activation et la désactivation d’une seule fréquence (signal porteur carré).

Les sons (ou battements) monauraux :
La fréquence porteuse n’est plus un signal carré, mais un signal sinusoïdal. Il en résulte un battement dont la fréquence est celle du signal porteur.

Le bruit blanc :
Le bruit blanc offre en théorie toutes les fréquences émises à la même intensité perçue (on parle d’énergie de densité spectrale).
Des bruits naturels comme ceux émis par la pluie, les cours d’eau en général ont des analogies avec les bruits blancs théoriques.
Les bruits blancs ont des effets calmants et sédatifs.

Harmonic Box X :
Décrite par James Mann dans son livre Awakening Mind 1, c’est une méthode qui incorpore à la fois des battements monauraux et binauraux de manière harmonieuse.
Quatre fréquences initiales sont crées, deux à gauche, deux à droite. Il en résulte la création de deux autres fréquences monaurales, une à gauche et une à droite. Ce qui donne au total trois fréquences à gauche et trois fréquences à droite. Ces trois fréquences vont créer trois sons binauraux à l’intérieur du cerveau. Par un choix judicieux des fréquences initiales, nous pouvons créer des fréquences induites qui vont pouvoir se potentialiser mutuellement.
Cette méthode de création des sons binauraux amplifie de manière très importante l’efficacité des sons initiaux.
Les pulsation photiques :
Il s’agit de pulsations lumineuses. Certains de ces effets visuels peuvent amplifier ou induire l’émanation d’ondes cérébrales particulières. (William Saul Kroger). Les pulsations photiques peuvent agir de la même manière que les sons binauraux. De plus en appliquant de manière différente, des signaux sur l’œil droit et sur l’œil gauche, on peut aider à la synchronisation des deux hémisphères cérébraux.